Book of Tale
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Tomber dans le terrier du lapin ♣ Anaya

@ Anaya A. Ortega

alice
Anaya A. Ortega
pseudo / pronom : Princesse (elle)
présence : présence réduite
faceclaim : Zendaya Coleman
crédits : overmore.
Messages : 163
Date d'inscription : 01/06/2023
#
01.06.23 19:30

Anaya Alicia Ortega

feat. Zendaya Coleman
identité Anaya Alicia Ortega. naissance, âge elle est née le 31 décembre 1996 à Oakland en Californie, États-Unis. Elle a 22 ans. orientation, statut pansexuelle, célibataire et pourtant prisonnière d'une dépendance toxique. genre, pronoms elle. métier Saboteuse de sa propre vie, accessoirement en étude d'art quand elle n'est pas trop occupée à se défoncer. quartier d'habitation Le centre ville dans un appartement qu’elle partage avec sa sœur. inspiration personnage + conte Alice (Alice au pays des merveilles). groupe The curious ones. crédits Bambi.
23 ans - En étude d'art - Célibataire

taking a closer look


caractère J’étais une enfant curieuse et pleine d’énergie avant de tomber dans la dépression et la drogue. J’ai toujours eu un caractère assez rebelle. L’adolescence est une période où on cherche absolument à s’affirmer. Je n’ai pas un caractère facile, je le sais. A la mort de mes parents, j’ai commencé à adopter une attitude d’auto-destruction. Au fond de moi, il y a une meuf qui casse tout ce qu’elle touche. Quelqu’un qui veut mourir depuis des années.

Je suis assez impulsive, je me laisse porter par le vent. Imprévisible aussi, on me le dit souvent. J’ai tendance à agir sur un coup de tête ce qui fait qu’on a du mal à me suivre parfois. Je ne planifie jamais rien à l’avance. Certains diront que je suis imprudente, et ils n’ont pas tord. Mon mode de vie m’a bien souvent porté préjudice. Je me mets volontairement ou involontairement dans des situations dangereuses. Juste pour me sentir vivante. C’est pas bien. Mais que voulez-vous, j’ai toujours aimé l’imprévu. Car la vie m’a abimé, écorché à sang.

Je suis aussi une fille très têtue, une vraie tête de mule. J’écoute rarement ce qu’on me dit, j’en fais qu’à ma tete. Les bons conseils qu’on me donne, je les balaye bien souvent d’un revers de la main. Je suis parfois trop franche, on me dit souvent que je manque de tact. Mais après tout à quoi bon mettre les formes ? Rien ne sert d’enjoliver les choses quand elles sont moches.

Je pense pas être une personne mauvaise, personne ne naît mauvais après tout. Mais je ne suis pas toute blanche non plus. Je suis plutôt un mélange de gris qui vacille entre les limites. Parfois, je bascule du côté obscure sans m’en rendre compte. C’est avec la souffrance que mon identité d’adulte s'est formée. A vrai dire, les seules moment où je souris sourit vraiment c'est quand je suis sous substance et que j’oublie tout. Je me déconnecte alors de la réalité et je peux enfin respirer. Je peux même rire et danser. Dans mes moments euphoriques, je deviens même hyperactive. Mais ça ne reste jamais longtemps, la chute me fait toujours redescendre sur Terre. Et ça fait mal. Très mal.

Ma chienne de vie a fait de moi une toxicomane. Quand je suis en manque, je suis prête à tout pour avoir ma dose, peu importe la morale. Je peux devenir une vraie furie dans ces moments. La psychose me monte à la tête et je deviens violente. Traitez moi de folle si vous le voulez, vous aurez raison. La folie fait partie de moi. Lors de mes crises, je ne me contrôle plus. Peu à peu, je me déconnecte avec la réalité. Le pire, c’est que je n’ai pas envie de m’en sortir. J’ai beau lutter de toute mes forces je sais que je continuerais de me noyer. Je suffoque et même quand on me propose une sortie, je fais comme si elle n’existait pas. Je préfère m’autodétruire, c’est ma manière de me punir. Après tout, c’est tellement plus simple que de se battre.  
anecdotes  TW : mutilation
Quand elle était petite, Anaya avait un lapin et un chat comme animal de compagnie | Elle était très proche de son père | Anaya sait parler plusieurs langues : anglais, espagnole et anglais | Elle est trés douée en peinture | Son corps est marqué de plusieurs brulure qu'elle s'est infligé elle-même | Elle est imbattable aux jeux de carte | L'effet de la drogue et ses crises de folie ont plusieurs fois faillit la tuer, étant donné qu'elle ne percevait pas la diffèrente entre réalité et imaginaire

Le vrai visage


prénom, pseudo Marion, princesse.  pronoms elle. personnage inventé. Double Comptes ? nop. commentaires de fin Je cherche un lapin, vous ne l'auriez pas vu dans le coin ?
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@ Anaya A. Ortega

alice
Anaya A. Ortega
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#
01.06.23 19:31

histoire

Le journal d’une toxico

TW : drogue, toxicomanie, dépression, auto-destruction, emprise, dépendance, relation toxique, violence.


La vie c’est de la merde. Enfin, je crois que ça ne l’a pas toujours été.

J’étais heureuse, d’une famille modeste avec des parents aimants. Sans oublier une sœur adorable qui me racontait des histoires tous les soirs avant de dormir. Maria me faisait voyager dans toutes les aventures imaginaires que nous rêvions d’explorer ensemble. Mon enfance a été bercé par les contes de ma sœur. Mais devinez quoi ? La vie ce n’est pas un conte de fée.

J’étais une enfant pleine d’énergie qui rêvait de découvrir le monde. D’ailleurs,  ça amusait beaucoup mes parents. Puis je suis entrée dans l’adolescence. J’ai commencé à me rebeller pour m’affirmer. La crise d’ado par excellence. Je sortais en douche pour aller faire la fête et je séchais les cours. Ma sœur quant à elle a toujours été le modèle de la fille parfaite. Je me disputais souvent avec mes parents. Si seulement j’avais compris que si il faisait tout ça, c’était pour mon bien. Quand t’aimes un enfant, tu fais tout pour le remettre sur le droit chemin. Je n’étais pas une enfant facile, je leur en ai fais baver. Pourtant ils ont toujours continué à prendre soin de moi. Ils n’ont jamais baissé les bras, pour ça je les remercie.

Le lycée terminé, j’ai commencé des études de langue étrangère pendant 5 mois mais rapidement cela est devenu ennuyeux. J’ai donc décidé de reconvertir dans une école d’art. C'est devenue une véritable révélation pour moi. Je pouvais mettre toute mon énergie dedans. Toute mon âme. J’adorais ce que je faisais, du moins jusqu’à ce qu’il y ait le drame. Le drame qui allait foutre toute ma vie en l’air et me ronger jusqu’à ma mort.

Un soir j’ai décidé de me rendre en soirée étudiante. Évidemment, mes parents me l’avaient interdit. Alors j’ai fait le mur en passant par la fenêtre de ma chambre. Plus tard dans la soirée, mes parents ont découvrent le poto rose. Ils m’ont appelés, ils étaient furieux. Une dispute a éclaté au téléphone. Ils disaient qu’ils allaient venir me chercher. En colère, je leur ai raccroché au nez. Sauf que j’étais loin de m’imaginer que sur la route, alors qu’ils étaient en chemin pour venir me chercher, ils se fassent tuer dans un accident de voiture. Je l’appris seulement le lendemain. J’avais fait la fête toute la nuit alors qu’ils étaient en train de pourrir au fond d’un ravin. Quand je l’ai su, quelque chose s’est brisé en moi. La douleur a pris mon coeur en otage et ne l’a jamais rendu. La culpabilité a commencé à me ronger de l’intérieur et tout c’est effondré. C’était de ma faute. Maria a essayé de me consoler alors qu’elle était elle-même effondrée. Mais rien à faire, je me suis brisée en deux ce jour là. Une fissure a écorché mon âme meurtri. Une fissure qui ne pourrait jamais être réparé.

Et un jour je suis sortie sans carte, sans boussole. Je me suis retrouvée livrée à moi-même avec ma dépression en guise de sac à dos. Je n’avais plus personne pour me donner de bons conseils, parce que je n’en voulais pas. Je voulais juste oublier, et me punir. J’ai laissé ma sœur derrière moi, elle aussi je l’ai puni sans le savoir. Je suis partie au moment où on avait le plus besoin l’une de l’autre et je ne lui ai plus jamais donné de nouvelle depuis. Je voulais juste m’enfoncer dans un trou et creuser ma propre tombe. J’ai chuté et je ne voulais pas l’entraîner dans ma chute. J’avais déjà assez fait de mal comme ça.

J’ai voyagé pendant quelques moi jusqu’à ce que mon chemin m’emmène à Ayalon à Castletale. Je me suis trouvé un petit studio miteux et j’ai enchaîné les boulots ingrats pour m’en sortir. Tout en plongeant de plus en plus dans les abysses de la dépression. Le pire dans la dépression, c’est que même si on sait qu’on est dépressif, on ne peut pas empêcher sa dépression de s’aggraver. L’autre truc qu’il faut savoir sur la dépression c’est que ça fait perdre la notion du temps. Tout à coup, les journées forment une boucle sans fin et suffoquante. Et là on essai de se souvenir de ce qui nous a rendu heureux. Sauf que quand je pense à mes parents, je suis encore plus malheureuse. Je me sens coupable. Lentement, le cerveau commence à effacer les souvenirs qui nous a apporté de la joie. Au final, on finit par se dire que la vie a toujours été comme ça et qu’elle sera toujours comme ça. On se noie en continue sans jamais réussir à sortir la tête de l’eau. La douleur c’est comme un usurier, auprès au qui on aurait une dette qu’on ne payera jamais. Quand t’as une telle douleur au fond de toi, tu ne peux pas savoir dans quoi tu vas tomber. Moi je suis tombée dans la drogue. Ça a a commencé par des joints dans ce placard qui me servait de chambre. C’était des moments agréables qui me permettaient de me vider la tête. Mais ça ne me faisait pas oublier la douleur pour autant.

Je ne sortais plus. Je passais mes journées à discuter sur des forums en ligne. J’ai trouvé le forum intitulé « Neverland » avec des gens à la vie aussi pourri que la mienne. Je me rassurais en me disant qu’il y avait des vies plus merdiques que moi.  J’ai fais la connaissance de quelqu’un qui portait le pseudonyme de « White Rabbit » sur cette plateforme. On a sympathisé et c’est rapidement devenu le/la seul.e « ami.e » que j’avais. On a finit par se rencontrer. Comme vous vous en doutez, je n'avais aucun ami dans cette ville, alors même si l'envie de sortir n’était pas au beau fixe, j’y suis allée. Je me suis dis que ça pourrait peut être m’aider. Si j’avais su ! Nous nous étions donné rendez-vous sur la place de la ville. Rabbit était en retard mais qu’importe, après tout, je n’avais rien de mieux à faire. On discute un peu et iel veut m’emmener quelque part. Il parait qu’iel a une solution pour me faire aller mieux. Sans se poser de question, je le.la suis jusqu'à un club nommée "le pays des merveilles". Il s'agit d'un club de la ville dans lequel iel travaille. Iel me fait entrer dans la salle VIP réservée qu’à une poignée de personne. Je me sens privilégié, comme si j’appartenais à un groupe. C’était une salle dont je n’aurais jamais pu avoir accès sans Rabbit. Mais peut-être n’aurais je jamais du entrer dans le terrier du lapin. Parce que c'est là-bas que la véritable chute vers les enfers commence.

La-bas, la drogue est partout. Je prend une première dose de drogue dure. Il y a eu ce moment de répit. Ce moment où à chaque fois que t’expire, tu vires tout l’oxygène que t’as dans tes poumons. Et tout ce que tu ressens, ce que tu désires, tout ce que tu veux oublier. Tout ça, ça disparaît. Tu es emporté dans un monde imaginaire, plein de couleurs magnifiques. Je retombai en enfance, où la vie n’était pas aussi sombre. J’avais l’impression de voyager à travers les histoires de ma sœur. Sous substance, plus rien n’a de sens et c’est si bon. Sauf que d’un seul coup, tu redonnes de l’air à tout ça. Tu recommences à vivre. Je me souviens que la première fois que ça m’est arrivé, j’ai pleuré. Je ne voulais pas quitter ce monde, je ne voulais pas quitter mon trip. Avec le temps, c’est cet effet que j’ai recherché : quelques minutes de vide total dans un monde qui n’existe pas. Alors j’ai continué à me droguer. J’ai essayé tout ce qui me venait sous la main. Sous l'emprise de la drogue j’ai oublié ma triste réalité. J’ai fréquenté de plus en plus ce club et rapidement je ne l’ai plus jamais quitté.

C'est la-bas que j’ai rencontré Alexeï, le patron du club. C’était un homme bizarre avec toujours un chapeau différent sur la tête. J’ai vite attiré son attention. Je crois qu’il a vu en moi une propre version de lui. Une fille paumée avec seulement la drogue comme refuge. On a commencé à se fréquenter, il était charmant au début. Pas comme les autres. On se comprenait comme deux marginaux dont la société n’en avait rien à foutre. Ce que j’aimais chez lui c’est qu’il n’était pas normal. Il était complètement décalé avec la réalité et c’était cet effet là que je recherchais dans les drogues. Il était en quelque sorte ma drogue lui aussi. Il me faisait sentir normal. En plus, il me donnait toute les drogues que je voulais. On se défonçait ensemble, imaginant des chats au sourire de Joker ou des chenilles défoncées à l’hélium. Ça n’avait pas de sens, la réalité n’existait plus. Voilà ce que je voulais : oublier ma réalité. On a commencé à coucher ensemble et à vivre une vie de débauche et de toxicomanes à deux. Je planais à longueur de journée, je ne voulais  jamais redescendre. Parce que je savais que la redescente allait faire mal. Très mal. Avec Alexeï c’était l’amour « fou » c’est le cas de le dire. Mais c’est aussi vite devenu toxique. On se disputait sans arrêt. Il était violent et moi aussi. Il me donnait des coups et je les lui rendaient. La drogue nous poussait toujours dans nos retranchements. C’était devenu malsain. Il était fou. Il me rendait folle. Nous étions fou. Plus le temps avançait et plus on se détruisait. Mais au final c’est ça que je cherchais, je cherchais à me détruire. Je me dis qu’au fond, je l’avais bien mérité. On récolte ce que l’on sème.

Parfois je le quittais, je quittais le club quand s’en était trop pour moi. Sauf que le manque devenait rapidement un problème. Alors je revenais vers lui. J’etais sous son emprise, sous l’emprise du manque. C’était le même shéma à chaque fois : je le quittais puis je revenais. Parce que j’étais prête à tout pour avoir ma dose. La vérité c'est que je n’avais aucune envie de m'en sortir. Le monde de la drogue est plus facile que la terrible réalité. Sauf qu’un jour, ça a été trop loin. Le coup trop violent, les mots trop dure. Il m’a frappé la tête si fort qu’elle a percuté le coin du bureau. J’ai bien faillit mourir ce jour là. Ce n’était plus possible, c’était la goutte de trop. Alors en représailles, j’ai volé un maximum de drogue au club et je suis partie, pour de bon cette fois.

Seule dans mon appartement et les mains tremblotantes je me suis enfilée tout ce que j’avais sous la main. Il fallait que mes pensées s’arrêtent, que mon cerveau arrête de réfléchir. Que mon coeur arrête de me faire souffrir. Je n’en pouvais plus. Puis il est arrivé, ce moment où ta respiration commence à ralentir. Ce moment où tout s’arrête, ton coeur, t’es poumons et ensuite ton cerveau. Tu convulses, ton corps se crispe et tu t’étouffes avec la merde que t’as dans le corps. J’ai fais une overdose. C’est comme ça que j’allais mourir : seule dans ma chambre, comme la pauvre merde que j’étais.

Alors que je pensais passer l’arme à gauche, je me suis réveillée à l’hôpital. Ma voisine m’avait trouvé à temps et m’avait emmené aux urgences. Après ça, l'hopital a contacté ma grande soeur. Elle est venu jusqu’ici pour moi. Moi qui l’avait abandonné et ne lui avait plus donné de nouvelle depuis mon départ. J’ai pleuré en la voyant et elle aussi. Elle était si inquiète pour moi. Mais je n'étais pas encore assez ancré avec la réalité pour le réaliser. Après quelques semaines à l'hopital le manque se fait de nouveau ressentir. J’étais prête à retourner au club mais sa soeur m’en a empêché. A la place, elle m’a supplié d'aller dans un centre de désintoxication. J’en avais pas envie, mais en voyant la douleur sur son visage, j’ai fini par accepter à contre-coeur, pour elle.

Ma cure a été un enfer. Je n’étais qu’une loque. Tout mon corps me faisait souffrir et m’implorait de reprendre une dose. Ça faisait un mal de chien. Mais au final, ça a finit par s’estomper avec le temps. Peu à peu j’ai repris contact avec la réalité. Une fois sortie, j’ai emmenagé avec Maria qui avait décidé de rester à Ayalon pour veiller sur moi. J’ai ensuite eut droit à une marraine au toxico anonyme. Tout le monde attend de moi que j’aille mieux alors je sourie, du moins en facade. Ma soeur est heureuse, c'est le principal. Elle croit que tout est fini et c'est ce que veux lui faire croire. Parce qu’au fond de moi je vais toujours aussi mal. Sans drogue, la dépression est plus lourde à supporter. Cela fait quelques semaines que j’ai secrètement repris les joints. Ce ne sont que des joints, ça va ! Personne n'a besoin de le savoir, il n'y a pas mort d'homme. Si cela me permet de vivre une vie plus ou moins normal sans inquiéter mes proches, c’est le bon compromis. Parce qu’il faut le dire, je fais des efforts, vraiment ! Je lutte contre mon envie de replonger dans la poudre blanche à chaque seconde. C’est dur, surtout quand chaque pilule de médicaments que je croise me hurle dessus en disant « mange moi ». J’essai de reprendre ma vie, j’ai même repris mes études d'art. Mais pour combien de temps ? La drogue et le club du pays des merveilles sont toujours dans ma tête. Je sais que je dois les fuir à tout prix, mais ça m’obsède. Chaque cellule de mon corps me pousse à y retourner. Je résiste. Il serait si facile de flancher, surtout quand au fond de moi, je n’ai qu’une envie : retomber dans le terrier du lapin.
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@ Invité

Anonymous
#
01.06.23 19:44
Oh ce personnage....steplait son histoire brise mon petit coeur.... cry3

En tout cas, rebienvenue à la maison, mets-toi à l'aise et au plaisir de te croiser en rp inlove5
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@ E. Mathilda Chase

anastasia
E. Mathilda Chase
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crédits : lionheart (ava)
Messages : 303
Date d'inscription : 19/08/2021
#
01.06.23 19:51
ma filleule triste triste cette histoire drama drama
bienvenue par ici mon chat, hâte de développer notre lien coeur2
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@ Alianova Bolat

kida
Alianova Bolat
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crédits : Monroe.
Messages : 173
Date d'inscription : 05/02/2023
#
01.06.23 19:57
Ce perso que j'aime tellement ! ananas
Bienvenue à toi par ici et hâte de rp avec toi. hugheart
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@ Anaya A. Ortega

alice
Anaya A. Ortega
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Messages : 163
Date d'inscription : 01/06/2023
#
01.06.23 20:03
Merciii, vous êtes des choux coeur
Hâte de rp avec vous aussi dance2
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@ E. Mathilda Chase

anastasia
E. Mathilda Chase
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présence : présent(e)
faceclaim : Abigail Cowen
crédits : lionheart (ava)
Messages : 303
Date d'inscription : 19/08/2021
#
01.06.23 20:27

Bienvenu(e) à Castletale !


Encore une fois bienvenue avec cette demoiselle incroyable, hâte de la voir en jeu gaga gaga

Félicitation tu as à présent terminé ta fiche ! C'est avec le plus grand des plaisirs que je t'annonce que toi, @Anaya A. Ortega, est validé(e). Tu peux d'ors et déjà vérifier que tes informations sont bien recensées dans les différents bottins ICI (si ce n'est pas le cas n'hésite pas à prévenir un membre du staff c'est qu'on a été trop vite et qu'on a oublié ca peut arriver). Maintenant que le principal est fait tu peux aller te faire des copains par là ainsi qu'organiser tes rps. N'hésites pas à passer voir de temps en temps les rps libres qui peuvent parfois créer des liens, ils se trouvent ici. Si tu veux discuter tu peux rejoindre la Chat Box mais tu peux également rejoindre notre discord en cliquant juste là si ce n'est pas déjà fait. Mais cependant il n'y a aucune obligation. N'oublies pas de te recenser une fois que tu auras posté ton premier rp, le recensement à lieu tous les mois juste ici

L'aventure ne fait que commencer alors bon jeu avec ton personnage, et n'hésites pas à contacter le staff si tu as besoin ! Tu trouveras les noms de notre staff permanent ainsi que le staff tournant ici inlove2
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@ Anaya A. Ortega

alice
Anaya A. Ortega
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crédits : overmore.
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Date d'inscription : 01/06/2023
#
01.06.23 20:46
Merci marraine haha
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