Accueil[fb] Par ici ou par là ? ft Lucian
1, 2@ Lucian Aretusi
La grande place
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OU PAR LA
OU PAR LA
- Les vacances font pas partie de mes projets immédiats mais j’aime me dire que ma vie est encore bien longue pour vivre plein d’aventures et de voyages.
Avec quelqu’un à ses côtés ça serait sans doute encore mieux, il voyageait seul sans trop de soucis mais parfois il aurait préféré avoir de beaux souvenirs à créer avec quelqu’un tant qu’à faire durant les voyages qu’il pourrait faire. Ca c’était son côté romantique peut être bien.
En attendant il avait Teddy qui l’accompagnait dans ses longues promenades, pour de petits week end escapade ailleurs, quand il partait courir. L’avantage d’un golden retriever comme lui, il était infatigable donc Lucian savait pouvoir compter sur sa présence en tous temps depuis plusieurs années.
- J’ai voulu un chien toute mon enfance, mes parents voulaient jamais. A la place ils ont eu un autre enfant 5 ans après moi ! Je me rattrape maintenant.
Il plaisantait biensûr, après tout il était l’avant dernier de la grande fratrie donc il était mal placé pour parler. Ses parents n’étaient pas beaucoup là et en soi les enfants avaient droit à beaucoup de cadeaux mais un chien il avait dû attendre un long moment avant d’en avoir un. Et autant dire que Teddy était un sacré numéro à lui tout seul.
- Je pense qu’à choisir je préfère encore la douleur physique que la douleur émotionelle pourtant.
Songe l’ex militaire avant de hausser un peu les épaules, il avait mal vécu la fin de sa carrière ou du moins les circonstances.
- Et à défaut d’en avoir un, c’est quoi tes autres manières de décompresser et chasser la mauvaise humeur au quotidien? Je suis curieux.
Avec quelqu’un à ses côtés ça serait sans doute encore mieux, il voyageait seul sans trop de soucis mais parfois il aurait préféré avoir de beaux souvenirs à créer avec quelqu’un tant qu’à faire durant les voyages qu’il pourrait faire. Ca c’était son côté romantique peut être bien.
En attendant il avait Teddy qui l’accompagnait dans ses longues promenades, pour de petits week end escapade ailleurs, quand il partait courir. L’avantage d’un golden retriever comme lui, il était infatigable donc Lucian savait pouvoir compter sur sa présence en tous temps depuis plusieurs années.
- J’ai voulu un chien toute mon enfance, mes parents voulaient jamais. A la place ils ont eu un autre enfant 5 ans après moi ! Je me rattrape maintenant.
Il plaisantait biensûr, après tout il était l’avant dernier de la grande fratrie donc il était mal placé pour parler. Ses parents n’étaient pas beaucoup là et en soi les enfants avaient droit à beaucoup de cadeaux mais un chien il avait dû attendre un long moment avant d’en avoir un. Et autant dire que Teddy était un sacré numéro à lui tout seul.
- Je pense qu’à choisir je préfère encore la douleur physique que la douleur émotionelle pourtant.
Songe l’ex militaire avant de hausser un peu les épaules, il avait mal vécu la fin de sa carrière ou du moins les circonstances.
- Et à défaut d’en avoir un, c’est quoi tes autres manières de décompresser et chasser la mauvaise humeur au quotidien? Je suis curieux.
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feat @Lucian Aretusi
- Je te le souhaite en tout cas.
J’aimerais beaucoup partir en vacances aussi, mais pour le moment cela ne fait pas partie de mes projets. On vient tout juste d’arriver en ville, je vais d’abord faire en sorte d’être embauchée et d’aider ma mère dans le quotidien. Mais peut-être que j’aurais l’occasion de partir un jour, et qui sait, peut-être avec quelqu’un avec moi. Peut-être lui. Mais ce n’est pas le moment d’y penser…
La conversation dévie sur les animaux et je lui dis que j’aimerais beaucoup en avoir un, un jour. Mais pour cela, il faut que j’arrive à convaincre ma mère d’en adopter un et c’est moins sûr. Je pense qu’elle se donne assez la journée pour que je lui rajoute un chien en plus, même si je suis sûr qu’elle serait ravie d’avoir de la compagnie à la maison quand je serais au travail. Mais je sais que c’est un coût supplémentaire donc je peux comprendre qu’elle refuse aussi. Je ris légèrement quand il me dit qu’il a toujours voulu un chien mais qu’à la place il a eu un petit frère.
- Effectivement ce n’est pas pareil. Tu as beaucoup de frère et sœur ?
J’apprends qu’il a été blessé à la jambe quand il était dans l’armée et il me dit que sa jambe le lance encore un peu de temps à autre mais heureusement pour lui ce n’est plus aussi douloureux que sur le moment.
- Ce n’est pas pareil. Il est vrai que physique ça fait mal sur le moment mais ça passe alors qu’émotionnel ça peut durer plus longtemps. Je pense que je ferais le même choix que toi.
Après si je peux éviter les deux, je préférais tout de même. Il me demande alors ce que je fais pour avoir le sourire comme je n’ai pas d’animaux pour le faire.
- Je fais un peu les magasins quand je n’ai pas le moral. Sinon j’écoute de la musique. Et toi ? Tu as des passions, autre que les animaux ?
J’aimerais beaucoup partir en vacances aussi, mais pour le moment cela ne fait pas partie de mes projets. On vient tout juste d’arriver en ville, je vais d’abord faire en sorte d’être embauchée et d’aider ma mère dans le quotidien. Mais peut-être que j’aurais l’occasion de partir un jour, et qui sait, peut-être avec quelqu’un avec moi. Peut-être lui. Mais ce n’est pas le moment d’y penser…
La conversation dévie sur les animaux et je lui dis que j’aimerais beaucoup en avoir un, un jour. Mais pour cela, il faut que j’arrive à convaincre ma mère d’en adopter un et c’est moins sûr. Je pense qu’elle se donne assez la journée pour que je lui rajoute un chien en plus, même si je suis sûr qu’elle serait ravie d’avoir de la compagnie à la maison quand je serais au travail. Mais je sais que c’est un coût supplémentaire donc je peux comprendre qu’elle refuse aussi. Je ris légèrement quand il me dit qu’il a toujours voulu un chien mais qu’à la place il a eu un petit frère.
- Effectivement ce n’est pas pareil. Tu as beaucoup de frère et sœur ?
J’apprends qu’il a été blessé à la jambe quand il était dans l’armée et il me dit que sa jambe le lance encore un peu de temps à autre mais heureusement pour lui ce n’est plus aussi douloureux que sur le moment.
- Ce n’est pas pareil. Il est vrai que physique ça fait mal sur le moment mais ça passe alors qu’émotionnel ça peut durer plus longtemps. Je pense que je ferais le même choix que toi.
Après si je peux éviter les deux, je préférais tout de même. Il me demande alors ce que je fais pour avoir le sourire comme je n’ai pas d’animaux pour le faire.
- Je fais un peu les magasins quand je n’ai pas le moral. Sinon j’écoute de la musique. Et toi ? Tu as des passions, autre que les animaux ?
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- Un projet après l’autre, j'ai déjà eu la chance d'avoir l'opportunité d'ouvrir mon centre d'éducation alors faut que je me concentre sur ça aussi avant d’envisager d’autres trucs.
La famille Aretusi avait de l'argent et c'est sûr que dans la vie ça pouvait donner quand même un sacré coup de pouce mais pour autant il n'était pas du tout du genre à se reposer sur ses lauriers surtout qu'il ne tenait pas à devoir quoi que ce soit à ses parents qui n'avaient jamais été là, il ne voulait pas leur donner la satisfaction de croire que leur argent pouvait racheter tous ces moments en famille qu'ils avaient pu rater durant cette dernière vingtaine d'années alors il préférait gagner son argent à la sueur de son front, tout comme il avait eu à coeur de retaper en grande famille par lui même son loft.
Le jeune homme marchait tranquillement le long de la rue piétonne qui était d'ailleurs plutôt calme à cette heure-ci de la journée ce qui n'était pas pour lui déplaire spécialement d'autant plus qu'il était en train de travailler Et que les chiens avaient toujours beaucoup plus de mal au départ avec les foules qui les forçait à s’adapter très vite à des situations en temps réel plutôt que de juste faire en fonction de l’environnement immédiat et de ses spécificités. Un rire léger lui avait échappé à la mention de ses frères et soeurs.
- Ouais je suis l'avant-dernier d'une fratrie de 6 enfants. Ca va de 35 à 20 ans.
Lui expliquait Lucian alors avec un petit sourire, avec chacun 2 ou 3 années d’écart, le plus jeune de la fratrie avait 20 ans tout juste mais avait la chance d’avoir le soutien de ses 5 ainés pour le soutenir dans sa vie et ses projets. Ils pouvaient tous compter les uns sur les autres quand la vie leur réservait des obstacles.
- Les deux forment un combo plutôt difficile à supporter crois moi. Du coup ouai à choisir entre les deu c’est vite fait.
Quand la tête allait le reste suivait un peu plus facilement il s’en était bien rendu compte. Et à l’époque ça n’allait pas du tout pour lui. Heureusement on lui avait offert Teddy et ça lui donnait une occasion de sortir de son lit et de chez lui même quand ça n’allait pas.
- J’aime bien la musique moi aussi, j’en écoute et j’en joue, le sport, et je bricole pas mal chez moi.
La famille Aretusi avait de l'argent et c'est sûr que dans la vie ça pouvait donner quand même un sacré coup de pouce mais pour autant il n'était pas du tout du genre à se reposer sur ses lauriers surtout qu'il ne tenait pas à devoir quoi que ce soit à ses parents qui n'avaient jamais été là, il ne voulait pas leur donner la satisfaction de croire que leur argent pouvait racheter tous ces moments en famille qu'ils avaient pu rater durant cette dernière vingtaine d'années alors il préférait gagner son argent à la sueur de son front, tout comme il avait eu à coeur de retaper en grande famille par lui même son loft.
Le jeune homme marchait tranquillement le long de la rue piétonne qui était d'ailleurs plutôt calme à cette heure-ci de la journée ce qui n'était pas pour lui déplaire spécialement d'autant plus qu'il était en train de travailler Et que les chiens avaient toujours beaucoup plus de mal au départ avec les foules qui les forçait à s’adapter très vite à des situations en temps réel plutôt que de juste faire en fonction de l’environnement immédiat et de ses spécificités. Un rire léger lui avait échappé à la mention de ses frères et soeurs.
- Ouais je suis l'avant-dernier d'une fratrie de 6 enfants. Ca va de 35 à 20 ans.
Lui expliquait Lucian alors avec un petit sourire, avec chacun 2 ou 3 années d’écart, le plus jeune de la fratrie avait 20 ans tout juste mais avait la chance d’avoir le soutien de ses 5 ainés pour le soutenir dans sa vie et ses projets. Ils pouvaient tous compter les uns sur les autres quand la vie leur réservait des obstacles.
- Les deux forment un combo plutôt difficile à supporter crois moi. Du coup ouai à choisir entre les deu c’est vite fait.
Quand la tête allait le reste suivait un peu plus facilement il s’en était bien rendu compte. Et à l’époque ça n’allait pas du tout pour lui. Heureusement on lui avait offert Teddy et ça lui donnait une occasion de sortir de son lit et de chez lui même quand ça n’allait pas.
- J’aime bien la musique moi aussi, j’en écoute et j’en joue, le sport, et je bricole pas mal chez moi.
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- Bien évidemment. C’est super que tu aies pu ouvrir ton propre centre.
Je peux comprendre qu’il préfère s’occuper de son centre, s’il l’a ouvert il y a peu, que de prévoir des vacances. Mais il faut parfois souffler un peu de temps en temps. Enfin j’imagine qu’il le fait déjà un peu.
Nous continuons notre conversation et je lui demande alors s’il a beaucoup de frères et/ou sœurs. Il me répond qu’il est l’avant-dernier d’une fratrie de six enfants allant de 35 à 20 ans.
- Vous êtes une grande famille. Ça doit être super d’avoir autant de frère et sœurs.
J’aurais aimé avoir des frères ou des sœurs aussi, mais au final je suis toute seule et quand on connaît ma situation, c’est sans doute mieux ainsi. S’il y avait eu plus de bouche à nourrir on aurait eu beaucoup de mal à s’en sortir au quotidien.
Nous parlons de ses blessures qu’il a subit quand il était à l’armée et de la douleur physique et émotionnelle celle qui est la plus dur. Je pense que je ferais le même choix que lui et préférait la douleur physique qui fait mal sur le moment mais qui finit par s’estomper avec le temps. La douleur émotionnelle elle peut durer bien plus longtemps et faire mal aussi.
- Je veux bien te croire… Mais oui le choix se fait rapidement.
La conversation dévie sur ce que je fais quand je n’ai pas le moral et je lui réponds que je fais un peu de shopping ou sinon j’écoute de la musique dans mon lit Je finis par lui demander s’il possède des passions en plus des animaux et j’apprends qu’il écoute de la musique aussi et qu’il en joue aussi. Il fait également du sport et bricole un peu chez lui.
- Tu joues de quel instrument ? J’avoue que le sport ce n’est pas trop mon truc et le bricolage encore moins.
Je ris légèrement mais en même temps c’est le cas. Je pense que je devrais pouvoir monter une étagère, mais ça n’ira pas plus loin.
Je peux comprendre qu’il préfère s’occuper de son centre, s’il l’a ouvert il y a peu, que de prévoir des vacances. Mais il faut parfois souffler un peu de temps en temps. Enfin j’imagine qu’il le fait déjà un peu.
Nous continuons notre conversation et je lui demande alors s’il a beaucoup de frères et/ou sœurs. Il me répond qu’il est l’avant-dernier d’une fratrie de six enfants allant de 35 à 20 ans.
- Vous êtes une grande famille. Ça doit être super d’avoir autant de frère et sœurs.
J’aurais aimé avoir des frères ou des sœurs aussi, mais au final je suis toute seule et quand on connaît ma situation, c’est sans doute mieux ainsi. S’il y avait eu plus de bouche à nourrir on aurait eu beaucoup de mal à s’en sortir au quotidien.
Nous parlons de ses blessures qu’il a subit quand il était à l’armée et de la douleur physique et émotionnelle celle qui est la plus dur. Je pense que je ferais le même choix que lui et préférait la douleur physique qui fait mal sur le moment mais qui finit par s’estomper avec le temps. La douleur émotionnelle elle peut durer bien plus longtemps et faire mal aussi.
- Je veux bien te croire… Mais oui le choix se fait rapidement.
La conversation dévie sur ce que je fais quand je n’ai pas le moral et je lui réponds que je fais un peu de shopping ou sinon j’écoute de la musique dans mon lit Je finis par lui demander s’il possède des passions en plus des animaux et j’apprends qu’il écoute de la musique aussi et qu’il en joue aussi. Il fait également du sport et bricole un peu chez lui.
- Tu joues de quel instrument ? J’avoue que le sport ce n’est pas trop mon truc et le bricolage encore moins.
Je ris légèrement mais en même temps c’est le cas. Je pense que je devrais pouvoir monter une étagère, mais ça n’ira pas plus loin.
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- Ouai, avantage d’avoir une famille un peu influente en ville. J’avais pas vraiment de parents présents mais j’avais de l’argent au moins.
Avait soufflé Lucian en haussant les épaules, clairement il n’avait pas vraiment eu une enfance de rêve avec ses parents qui n’étaient jamais là, au niveau émotionnel du moins. Pour le matériel ça allait, et ses frères et soeurs étaient là heureusement.
Dire que c’était super était un euphémisme, il aimait tellement tout l’ensemble de la famille, tout le monde s’entendait à merveille.
- On s’adore tous ouai c’est une chance de les avoir tous les 5 !
Et être l’avant dernier lui donnait l’avantage d’avoir l’aide et le soutien de ses aînés pour être un peu cajolé. Même maintenant, ils veillaient tous à leur façon sur lui quand ils se voyaient c’était agréable d’avoir sa petite famille pour se soucier de lui tout comme lui prenait plaisir à les aider et être là pour eux.
Il avançait tranquillement en direction de la destination demandée qui n’était plus très loin, prenant le temps puisqu’il en profitait pour travailler en même temps et puis la discussion était agréable donc la prolonger un peu n’était pas gênant, il y avait des rencontres chouettes à faire et Cleo en faisait partie.
- Mes parents ont insisté quand j’étais enfant pour que je fasse du solfège d’abord, puis que je me mette au piano, et au violon. J’ai pris la guitare plus tard par choix et c’est un instrument que j’aime bien aussi. C’est plus facile de trouver un temps pour jouer un petit morceau en impro à la guitare mais j’aime les trois je dois dire.
Le temps manquait souvent, ou plutôt il ne se prenait pas forcément le temps. Durant son adolescence ils avaient été tellements chiants à insister pour qu’il continue les deux que ça l’avait braqué un peu pendant un temps mais il y était revenu quand même de son propre chef et ça changeait le tout.
- Bah écoute si un jour t’as besoin d’un peu d’aide pour monter un meuble ou réparer un truc je peux toujours m’en occuper! Hésite pas surtout.
Insiste Lucian, tenant vraiment à ce qu’elle se sente vite à sa place en ville.
- On arrive ! Ca va aller?
Avait soufflé Lucian en haussant les épaules, clairement il n’avait pas vraiment eu une enfance de rêve avec ses parents qui n’étaient jamais là, au niveau émotionnel du moins. Pour le matériel ça allait, et ses frères et soeurs étaient là heureusement.
Dire que c’était super était un euphémisme, il aimait tellement tout l’ensemble de la famille, tout le monde s’entendait à merveille.
- On s’adore tous ouai c’est une chance de les avoir tous les 5 !
Et être l’avant dernier lui donnait l’avantage d’avoir l’aide et le soutien de ses aînés pour être un peu cajolé. Même maintenant, ils veillaient tous à leur façon sur lui quand ils se voyaient c’était agréable d’avoir sa petite famille pour se soucier de lui tout comme lui prenait plaisir à les aider et être là pour eux.
Il avançait tranquillement en direction de la destination demandée qui n’était plus très loin, prenant le temps puisqu’il en profitait pour travailler en même temps et puis la discussion était agréable donc la prolonger un peu n’était pas gênant, il y avait des rencontres chouettes à faire et Cleo en faisait partie.
- Mes parents ont insisté quand j’étais enfant pour que je fasse du solfège d’abord, puis que je me mette au piano, et au violon. J’ai pris la guitare plus tard par choix et c’est un instrument que j’aime bien aussi. C’est plus facile de trouver un temps pour jouer un petit morceau en impro à la guitare mais j’aime les trois je dois dire.
Le temps manquait souvent, ou plutôt il ne se prenait pas forcément le temps. Durant son adolescence ils avaient été tellements chiants à insister pour qu’il continue les deux que ça l’avait braqué un peu pendant un temps mais il y était revenu quand même de son propre chef et ça changeait le tout.
- Bah écoute si un jour t’as besoin d’un peu d’aide pour monter un meuble ou réparer un truc je peux toujours m’en occuper! Hésite pas surtout.
Insiste Lucian, tenant vraiment à ce qu’elle se sente vite à sa place en ville.
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- Certes… mais l’argent ne fait pas toujours le bonheur malheureusement…
Pour le coup, l’argent nous aurait bien aidé ma mère et moi à l’époque. Mais il est vrai que parfois certaines familles assez riches ne sont malheureusement pas très présentes pour leurs enfants à cause de leur travail par exemple. Il m’explique alors qu’il a une grande fratrie et je dois avouer que j’aurais aimé avoir moi aussi des frères ou sœurs à la maison.
- J’imagine oui. J’aurais aimé avoir des frères ou sœurs aussi.
Je lui offre un sourire. Mais je sais qu’avec notre histoire familiale, ça aurait été compliqué d’avoir un frère ou une sœur supplémentaire. Nous continuons de marcher, ne sachant pas encore combien de temps il me reste pour arriver à mon point d’arrivée, mais je ne suis pas spécialement pressée, appréciant la conversation avec Lucian, heureuse de faire une nouvelle rencontre. D’ailleurs j’apprends qu’il joue d’un instrument, enfin même de trois instruments.
- Tu sais faire pleins de choses dis donc. Et tu as un instrument que tu préfères ? J’aurais peut-être l’occasion de t’entendre jouer un jour.
Je lui offre un sourire avant de rire légèrement lui disant que je ne suis absolument pas douée avec un marteau dans les mains. J’arriverais peut-être à monter une étagère, mais pas sûr qu’elle soit très droite à la fin.
- Je n’hésiterais pas dans ce cas. Merci beaucoup. Décidément tu sais vraiment tout faire.
Je ris légèrement tandis qu’il m’indique que nous sommes arrivés à destination. Je regarde l’endroit et souffle un bon coup.
- Je pense oui. Merci beaucoup pour ton aide. Je te préviendrais si j’ai réussi en t’envoyant un message sur Instagram.
Je lui offre un sourire avant de le saluer avec un petit signe de la main et une caresse au chien et me rend dans la brasserie, prête à passer mon entretien.
Pour le coup, l’argent nous aurait bien aidé ma mère et moi à l’époque. Mais il est vrai que parfois certaines familles assez riches ne sont malheureusement pas très présentes pour leurs enfants à cause de leur travail par exemple. Il m’explique alors qu’il a une grande fratrie et je dois avouer que j’aurais aimé avoir moi aussi des frères ou sœurs à la maison.
- J’imagine oui. J’aurais aimé avoir des frères ou sœurs aussi.
Je lui offre un sourire. Mais je sais qu’avec notre histoire familiale, ça aurait été compliqué d’avoir un frère ou une sœur supplémentaire. Nous continuons de marcher, ne sachant pas encore combien de temps il me reste pour arriver à mon point d’arrivée, mais je ne suis pas spécialement pressée, appréciant la conversation avec Lucian, heureuse de faire une nouvelle rencontre. D’ailleurs j’apprends qu’il joue d’un instrument, enfin même de trois instruments.
- Tu sais faire pleins de choses dis donc. Et tu as un instrument que tu préfères ? J’aurais peut-être l’occasion de t’entendre jouer un jour.
Je lui offre un sourire avant de rire légèrement lui disant que je ne suis absolument pas douée avec un marteau dans les mains. J’arriverais peut-être à monter une étagère, mais pas sûr qu’elle soit très droite à la fin.
- Je n’hésiterais pas dans ce cas. Merci beaucoup. Décidément tu sais vraiment tout faire.
Je ris légèrement tandis qu’il m’indique que nous sommes arrivés à destination. Je regarde l’endroit et souffle un bon coup.
- Je pense oui. Merci beaucoup pour ton aide. Je te préviendrais si j’ai réussi en t’envoyant un message sur Instagram.
Je lui offre un sourire avant de le saluer avec un petit signe de la main et une caresse au chien et me rend dans la brasserie, prête à passer mon entretien.
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- Disons que ça ne fait absolument pas tout, ça c’est certain.
Constate le jeune homme, pensif. Ca aidait, clairement, mais ça ne suffisait pas au bonheur. Pour certains peut être mais Lucian était quelqu’un d’ouvert aux autres, quelqu’un qui avait besoin de contacts sociaux et de plus que ça dans sa vie. Cet espèce d’ignorance de la part de ses parents avait peut être un rôle à jouer là dedans, une part de lui craignait toujours qu’il ne soit pas assez important ou intéressant et qu’on finisse par le lâcher et le laisser comme s’il n’était pas grand chose. L’argent n’avait rien arrangé à ça.
- Y’a des moments quand on se prenais la tête où j’ai déjà dû me dire que je me passerais d’avoir autant de pseudo parents de substitution mais en fait je les échangerait pour rien au monde.
Confirme Lucian avec un petit sourire amusé, ça n’avait pas été évident surtout pour Maxim qui avait eu un peu en charge ce gamin avec qui il n’avait pas tant de différence d’age que ça, pas assez pour avoir eu cette responsabilité en tous cas mais qui avait fait de son mieux. C’était sur qu’il avait dû le maudire une fois ou deux pendant son adolescence qui comme pour bien d’autres n’avait pas été qu’une partie de plaisir mais tout ça c’était loin derrière eux.
- Hé ouai. J’aime être surprenant qu’est ce que tu veux. Hm… Que je préfère… je sais pas trop. Les trois sont très différents. Va pour un petit concert privé.
Ris le jeune homme de bon coeur en avançant dans la rue, flattant la tête du chien qui se tenait à ses côtés pour la féliciter de son boulot. Elle restait concentrée, et c’était une bonne chose.
- Avec plaisir! On se tiens au courant alors! Je te souhaite bonne chance en tous cas mais ça devrait aller. Bienvenue à Ayalon, encore une fois. J’éspère que ça deviendra vite un endroit où tu te sentiras totalement chez toi. C’était un plaisir Cleo !
Il l’avait salué de la main avec un petit sourire, repartant en sens inverse pour revenir sur ses pas et finir sa journée de boulot de son côté pour pouvoir rentrer chez lui pas trop tard pour une fois.
[ RP TERMINE ]
Constate le jeune homme, pensif. Ca aidait, clairement, mais ça ne suffisait pas au bonheur. Pour certains peut être mais Lucian était quelqu’un d’ouvert aux autres, quelqu’un qui avait besoin de contacts sociaux et de plus que ça dans sa vie. Cet espèce d’ignorance de la part de ses parents avait peut être un rôle à jouer là dedans, une part de lui craignait toujours qu’il ne soit pas assez important ou intéressant et qu’on finisse par le lâcher et le laisser comme s’il n’était pas grand chose. L’argent n’avait rien arrangé à ça.
- Y’a des moments quand on se prenais la tête où j’ai déjà dû me dire que je me passerais d’avoir autant de pseudo parents de substitution mais en fait je les échangerait pour rien au monde.
Confirme Lucian avec un petit sourire amusé, ça n’avait pas été évident surtout pour Maxim qui avait eu un peu en charge ce gamin avec qui il n’avait pas tant de différence d’age que ça, pas assez pour avoir eu cette responsabilité en tous cas mais qui avait fait de son mieux. C’était sur qu’il avait dû le maudire une fois ou deux pendant son adolescence qui comme pour bien d’autres n’avait pas été qu’une partie de plaisir mais tout ça c’était loin derrière eux.
- Hé ouai. J’aime être surprenant qu’est ce que tu veux. Hm… Que je préfère… je sais pas trop. Les trois sont très différents. Va pour un petit concert privé.
Ris le jeune homme de bon coeur en avançant dans la rue, flattant la tête du chien qui se tenait à ses côtés pour la féliciter de son boulot. Elle restait concentrée, et c’était une bonne chose.
- Avec plaisir! On se tiens au courant alors! Je te souhaite bonne chance en tous cas mais ça devrait aller. Bienvenue à Ayalon, encore une fois. J’éspère que ça deviendra vite un endroit où tu te sentiras totalement chez toi. C’était un plaisir Cleo !
Il l’avait salué de la main avec un petit sourire, repartant en sens inverse pour revenir sur ses pas et finir sa journée de boulot de son côté pour pouvoir rentrer chez lui pas trop tard pour une fois.
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