A quiet evening | PV : Wesley Lazarev
@ Enaya Sinclair
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@ Wesley Lazarev
Le bellâtre qui faisait tourner tant de têtes de par son apparence viril, presque bestial, et de sa musculation finissait de s’habiller pour cette sortie planifié avec cette courageuse jeune femme qui hantait autant son palpitant malmener par l’amour que ses songes quand Morphée l’attrapait finalement dans ses filets hypnotiques. Comme à son habitude le capitaine s’était lancer à corps perdu dans le travail et montrait l’exemple à ses officiers en étant toujours présent sur les lieux. Leadership et surtout devoir voilà le credo du russe si taciturne. Après un Noël si doux passé au poste en compagnie d’Enaya et ce voyage compromis à cause de la visite de la famille Sinclair, le contact entre les deux êtres semblaient s’être amplifier. Quelques sorties sorties pour casser la croûtes, pour faire une promenade, des appels et des sms. Il fallait toutes sa résistance pour ne pas avouer ce que l’homme musculeux avoue ressentir ce qu’il croyait mort depuis si longtemps. Wesley avait failli mourir de honte lors de cet appel du nouvel an fait en facetime. La mère du policier avait toujours su déchiffrer les émotions caché habituellement par le visage neutre et dur de son fils. Donc elle avait simplement dit en voyant la superbe jeune femme que c’était elle que fiston en pinçait. Honte et grognement de dépit de la part du texan d’adoption qui furent saluer par un éclat de rires des parents dont tout devaient les éloigner à l’origine.
Ce soir c’était un restaurant et un classique du cinéma en soirée. Se regardant dans le miroir, l’homme tout en muscle et ayant l’apparence aussi viril qu’intimidante passa sa main sur sa barde naissante. Enaya avait convier qu’elle aimait les hommes avec une barbe et s’en réellement s’en rendre compte le policier s’était laisser pousser la sienne. Son éternel manteau de cuir qui lui donnait un air revanchard et dur à cuir, son t-shirt noir ainsi que son blue jeans. En civil tout simplement même si l’arme de service et l’insigne de capitaine reposaient toujours à sa ceinture orné de l’état du Texas en forme de boucle. Les bottes de cowboy complétait le tout. Le point de rendez-vous était non loin du refuge de l’ours mal léché et il s’y rendit à pied. Cette démarche lente et traînante digne du texan, un peu comme même si la gravité essayait d’écraser l’homme ce dernier se redressait avec fierté et force.
Ne discernant pas la magnifique jeune femme dans la foule de promeneurs, le musculeux homme s’installa dos à un édifice pour sortir un de ses cigares qui était un de ses vices. Portant le rouleau de nicotine à ses lippes charnues dans un geste viril et puissant, l’esprit du bellâtre fit arrêter le tout. Enaya n’aimait guère la senteur du tabac et c’était bien la première fois qu’une personne avait tant d’emprise sur le capitaine pour l’empêcher de fumer. Il rangea alors le cigare dans son étui et glissa le tout dans la poche de sa veste avant de relever la tête. L’instinct du vétéran, autant de l’armée que des force de l’ordre,, lui fit relever la tête quand la plus des magnifique des femmes pour son regard abyssale s’approcha. Elle était toute en beauté et en féminité, un véritable mannequin pour le capitaine qui du faire un effort pour ne pas briser son masque neutre et taciturne typiquement russe. La bise fut tendre et d’une douceur surnaturel alors que le parfum envahissait totalement les sens du colosse. Soulevant ses larges épaules pour faire comprendre que tout allait, la voix du texan d’adoption se leva dans un mélange viril. Rauque et chaude comme le désert de l’état où il avait grandi.
Wesley- Aucun soucis... J’arrive toujours plus tôt pour jeter un œil partout... Déformation professionnelle comme le dit toujours mon père. Tu es en beauté ce soir Enaya. Tu as rendez-vous après moi?
Un sourire complice se déposa sur les lippes charnues de l’homme avant qu’il hocha la tête avec lenteur.
Wesley- Tu es toujours magnifique quelque soit le moment. Une femme du monde comme on voit rarement.
Il lui offrit son bras comme c’était devenu l’habitude lors de leurs promenades ensemble, quand l’horaire de chacun le permettait.
Wesley- J’ai penser à la nourriture en premier et ensuite il y a un double programme de classique au cinéma. Casablanca et Autant en emporte le vent. Après un petit casse-croûte pour bien finir...
Rigolant doucement il fit un petit sourire pince-sans-rire et dit avec le plus grand sérieux.
Wesley- J’ai fait une annonce tu ne l’as pas vu aux nouvelles? J’ai dis que j’étais pris ce soir et que si un crime devait briser ce rendez-vous, j’allais mettre tout sans dessus dessous pour retrouver les fautifs et m’en occuper...
Il rit franchement.
Wesley- La lieutenant semblait surprise que je lui confie les rênes. Dans un même souffle je dois la former si un jour je quitte mes fonctions. Car elle sera ma remplaçante.
Un restaurant à la mode apparut alors dans leur champs de vision.
Wesley- Être capitaine ouvre des portes. Il faut réserver trois mois à l’avance. Mais j’ai appeler quand on a pu se libérer et il y avait une table pour deux.
Comme les bonnes manières du Texas lui fut appris par la famille de sa mère, le bellâtre ouvrit la porte et tira la chaise de la belle. Il s’installa à son tour.
Wesley- Alors comment tu vas? Merci d’avoir accepter ce rendez-vous... Ça fait presque douze ans que je n’ai pas oser inviter une personne à un programme comme ce soir.
Ce soir c’était un restaurant et un classique du cinéma en soirée. Se regardant dans le miroir, l’homme tout en muscle et ayant l’apparence aussi viril qu’intimidante passa sa main sur sa barde naissante. Enaya avait convier qu’elle aimait les hommes avec une barbe et s’en réellement s’en rendre compte le policier s’était laisser pousser la sienne. Son éternel manteau de cuir qui lui donnait un air revanchard et dur à cuir, son t-shirt noir ainsi que son blue jeans. En civil tout simplement même si l’arme de service et l’insigne de capitaine reposaient toujours à sa ceinture orné de l’état du Texas en forme de boucle. Les bottes de cowboy complétait le tout. Le point de rendez-vous était non loin du refuge de l’ours mal léché et il s’y rendit à pied. Cette démarche lente et traînante digne du texan, un peu comme même si la gravité essayait d’écraser l’homme ce dernier se redressait avec fierté et force.
Ne discernant pas la magnifique jeune femme dans la foule de promeneurs, le musculeux homme s’installa dos à un édifice pour sortir un de ses cigares qui était un de ses vices. Portant le rouleau de nicotine à ses lippes charnues dans un geste viril et puissant, l’esprit du bellâtre fit arrêter le tout. Enaya n’aimait guère la senteur du tabac et c’était bien la première fois qu’une personne avait tant d’emprise sur le capitaine pour l’empêcher de fumer. Il rangea alors le cigare dans son étui et glissa le tout dans la poche de sa veste avant de relever la tête. L’instinct du vétéran, autant de l’armée que des force de l’ordre,, lui fit relever la tête quand la plus des magnifique des femmes pour son regard abyssale s’approcha. Elle était toute en beauté et en féminité, un véritable mannequin pour le capitaine qui du faire un effort pour ne pas briser son masque neutre et taciturne typiquement russe. La bise fut tendre et d’une douceur surnaturel alors que le parfum envahissait totalement les sens du colosse. Soulevant ses larges épaules pour faire comprendre que tout allait, la voix du texan d’adoption se leva dans un mélange viril. Rauque et chaude comme le désert de l’état où il avait grandi.
Wesley- Aucun soucis... J’arrive toujours plus tôt pour jeter un œil partout... Déformation professionnelle comme le dit toujours mon père. Tu es en beauté ce soir Enaya. Tu as rendez-vous après moi?
Un sourire complice se déposa sur les lippes charnues de l’homme avant qu’il hocha la tête avec lenteur.
Wesley- Tu es toujours magnifique quelque soit le moment. Une femme du monde comme on voit rarement.
Il lui offrit son bras comme c’était devenu l’habitude lors de leurs promenades ensemble, quand l’horaire de chacun le permettait.
Wesley- J’ai penser à la nourriture en premier et ensuite il y a un double programme de classique au cinéma. Casablanca et Autant en emporte le vent. Après un petit casse-croûte pour bien finir...
Rigolant doucement il fit un petit sourire pince-sans-rire et dit avec le plus grand sérieux.
Wesley- J’ai fait une annonce tu ne l’as pas vu aux nouvelles? J’ai dis que j’étais pris ce soir et que si un crime devait briser ce rendez-vous, j’allais mettre tout sans dessus dessous pour retrouver les fautifs et m’en occuper...
Il rit franchement.
Wesley- La lieutenant semblait surprise que je lui confie les rênes. Dans un même souffle je dois la former si un jour je quitte mes fonctions. Car elle sera ma remplaçante.
Un restaurant à la mode apparut alors dans leur champs de vision.
Wesley- Être capitaine ouvre des portes. Il faut réserver trois mois à l’avance. Mais j’ai appeler quand on a pu se libérer et il y avait une table pour deux.
Comme les bonnes manières du Texas lui fut appris par la famille de sa mère, le bellâtre ouvrit la porte et tira la chaise de la belle. Il s’installa à son tour.
Wesley- Alors comment tu vas? Merci d’avoir accepter ce rendez-vous... Ça fait presque douze ans que je n’ai pas oser inviter une personne à un programme comme ce soir.
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Le viril et taciturne russe au regard ténébreux ne pouvait qu’être encore plus sous le charme de la jeune femme. Enaya était littéralement une beauté sans nom et le capitaine bourru du département de police aurait tout donné pour lui faire part de ce qu’il gardait au plus profond de son être. Une tendresse sans borne, un amour aussi pur que puissant et surtout une affection qu’il n’avait pas ressenti depuis des années. Mais ce qui le retenait littéralement de se jeter à l’eau ce sont les commérages des environs. Un homme et une femme ayant un écart d’âge assez significatif. Il hocha la tête en souriant avec une douceur certaine avant de laisser sa voix rauque et chaude comme le désert de Mojave se lever pour répondre à la plus merveilleuse des femmes qu’il avait eu la chance de rencontrer.
Wesley- Il doit se sentir béni d’avoir une femme aussi formidable qui lui tend le bras pour un rendez-vous. Des hommes de ce type à plus tendance à s’isoler dans le travail et être un peu ermite, toujours dans son antre à travailler comme un posséder.
Pour l’amusement de la belle, après l’avoir complimenté avec chaleur, le texan d’adoption fit un tour sur lui-même pour faire valoir ses atours. On pouvait aisément voir la puissante musculation du bellâtre jouer sous ses vêtements. Il fit un clin d’œil qui se voulait complice et amicale tout en énonçant le menu de la soirée qu’il avait planifié dans le moindre détail. Ancien militaire, shérif évincé par l’opinion populaire et maintenant capitaine de police, l’organisation et surtout l’exactitude était une des forces du texan d’adoption.
Wesley- Le demin est à l’honneur. Des classiques du cinéma qui ne tomberont jamais dans l’oubli. Content que ça te plait. Disons que je ne savais pas si tu étais plus fims à eau de rose ou bien les nouveautés où il n’y a pas vraiment d’histoire, juste du prétexte pour de l’action. Et va pour le milk-shake… Tu sais que tu es la seule qui peut me faire ce que tu veux.? Habituellement je suis trop grognon et revanchard pour m’en laisser imposer. Tu as du pouvoir sur moi Enaya…
Sans réellement s’en douter, ayant perdu l’habitude de faire charme, le musculeux bellâtre venait d’avouer simplement son attirance envers la jeune femme. Continuant d’essayer de faire sourire Enaya, le capitaine en était aussi accro que les biscuits qu’il achetait à Lana et qui menaçait quelques fois son programme d’entrainement vigoureux, il avança avoir réaliser une annonce bidon aux fripouilles pour avoir cette soirée sans tracas. Néanmoins la surprise s’afficha alors sur les traits durs et austère du russe quand elle annonça que depuis leur petit Noël au commissariat elle avait hâte à ce rendez-vous. Prenant un instant pour reprendre contenance, il ajouta avec une chaleur surprenante.
Wesley- C’était l’un des plus beaux Noël que j’ai eu pour t’avouer. Les derniers c’étaient juste le boulot… Aussi je tenais à te dire que ma mère se fait des idées. Je lui ai expliquer qu’on était amis, mais elle voudrait tellement que je ne sois plus seul… Tu connais les parents?
En vérité le texan d’adoption ne savait pas que ses parents avaient réussi à trouver le numéro de la belle et qu’ils s’étaient parler il y a peu. Retrouvant un sujet moins glissant, le bellâtre hocha la tête de manière vigoureuse.
Wesley- Tout à fait d’accord. Il faut du cœur et une tête pour diriger, pas juste des amis haut placé. Donc le jour de la retraite, je vais la nommer à mon poste. Elle en a l’étoffe et j’ai foi en elle… Comme j’ai foi en toi je tiens à le dire.
Voyant la gêne de la jeune femme, le grognon de service haussa les épaules et expliqua doucement le choix de l’endroit.
Wesley- Tu te souviens du cas de fraude de l’hôtel de ville il y a un an? Le conseiller corrompu à essayer d’emmener avec lui des gens innocents par pur mesquinerie. Dont le propriétaire des lieux. J’ai mené l’enquête avec de bons éléments et nous avons pu faire blanchir l’homme et son commerce. Il tenait à m’inviter un de ces jours. J’ai discuté avec la déontologie et c’est acceptable vu que j’accepte cette offre sans que le propriétaire n’ait un retour d’ascenseur.
Il salut de la main le propriétaire qui souriait en grand. Le look du capitaine n’encadrait guère dans les lieux, mais la prestance, le charisme et surtout la réputation d’homme d’honneur fit oublier le code vestimentaire et les clients parurent heureux d’y voir celui qui assurait la protection de tous et chacun sans relâche. Ils prirent place et le capitaine opta pour un whiskey, trahissant sans peine son héritage texan et russe pour la boisson forte. Ils discutèrent tout bonnement et avec douceur et le taciturne homme à la musculation envieuse répondit avec une certaine légèreté.
Wesley- C’est intéressant. Pour ma part heureusement que je suis texan d’âme de ma mère, car sinon je serais très peu porter par les émotions dû à mo n héritage russe. Et les western spaghetti sont les meilleurs… Quoi que les derniers films de Clint Eastwood soient poignants. Gran Torino ou la mule.
Il regarda le menu et à son regard le regard ténébreux se leva du menu.
Wesley- Tout va. Je réponds en grognant à mes supérieurs pour qu’ils laissent mes officiers tranquilles. Je dois les protéger c’est mon boulot. Sinon j’aide sur les enquêtes, mais je m’ennuie du terrain pour t’avouer.
Il n’allait pas dire qu’une fois Enaya avait dit qu’elle adorait les barbes, donc il haussa les épaules et dit avec une certaine lenteur.
Wesley- Je voulais juste changer de style… Merci et toi tu es toujours aussi rayonnante. Mes parents m’ont supplié de t’inviter à les visiter. Ils sont du genre borner. J’ai cru comprendre aussi que tu avais accepter de rencontrer un homme proposé par ta famille? Le courant s’est bien passé?
@Enaya Sinclair
Wesley- Il doit se sentir béni d’avoir une femme aussi formidable qui lui tend le bras pour un rendez-vous. Des hommes de ce type à plus tendance à s’isoler dans le travail et être un peu ermite, toujours dans son antre à travailler comme un posséder.
Pour l’amusement de la belle, après l’avoir complimenté avec chaleur, le texan d’adoption fit un tour sur lui-même pour faire valoir ses atours. On pouvait aisément voir la puissante musculation du bellâtre jouer sous ses vêtements. Il fit un clin d’œil qui se voulait complice et amicale tout en énonçant le menu de la soirée qu’il avait planifié dans le moindre détail. Ancien militaire, shérif évincé par l’opinion populaire et maintenant capitaine de police, l’organisation et surtout l’exactitude était une des forces du texan d’adoption.
Wesley- Le demin est à l’honneur. Des classiques du cinéma qui ne tomberont jamais dans l’oubli. Content que ça te plait. Disons que je ne savais pas si tu étais plus fims à eau de rose ou bien les nouveautés où il n’y a pas vraiment d’histoire, juste du prétexte pour de l’action. Et va pour le milk-shake… Tu sais que tu es la seule qui peut me faire ce que tu veux.? Habituellement je suis trop grognon et revanchard pour m’en laisser imposer. Tu as du pouvoir sur moi Enaya…
Sans réellement s’en douter, ayant perdu l’habitude de faire charme, le musculeux bellâtre venait d’avouer simplement son attirance envers la jeune femme. Continuant d’essayer de faire sourire Enaya, le capitaine en était aussi accro que les biscuits qu’il achetait à Lana et qui menaçait quelques fois son programme d’entrainement vigoureux, il avança avoir réaliser une annonce bidon aux fripouilles pour avoir cette soirée sans tracas. Néanmoins la surprise s’afficha alors sur les traits durs et austère du russe quand elle annonça que depuis leur petit Noël au commissariat elle avait hâte à ce rendez-vous. Prenant un instant pour reprendre contenance, il ajouta avec une chaleur surprenante.
Wesley- C’était l’un des plus beaux Noël que j’ai eu pour t’avouer. Les derniers c’étaient juste le boulot… Aussi je tenais à te dire que ma mère se fait des idées. Je lui ai expliquer qu’on était amis, mais elle voudrait tellement que je ne sois plus seul… Tu connais les parents?
En vérité le texan d’adoption ne savait pas que ses parents avaient réussi à trouver le numéro de la belle et qu’ils s’étaient parler il y a peu. Retrouvant un sujet moins glissant, le bellâtre hocha la tête de manière vigoureuse.
Wesley- Tout à fait d’accord. Il faut du cœur et une tête pour diriger, pas juste des amis haut placé. Donc le jour de la retraite, je vais la nommer à mon poste. Elle en a l’étoffe et j’ai foi en elle… Comme j’ai foi en toi je tiens à le dire.
Voyant la gêne de la jeune femme, le grognon de service haussa les épaules et expliqua doucement le choix de l’endroit.
Wesley- Tu te souviens du cas de fraude de l’hôtel de ville il y a un an? Le conseiller corrompu à essayer d’emmener avec lui des gens innocents par pur mesquinerie. Dont le propriétaire des lieux. J’ai mené l’enquête avec de bons éléments et nous avons pu faire blanchir l’homme et son commerce. Il tenait à m’inviter un de ces jours. J’ai discuté avec la déontologie et c’est acceptable vu que j’accepte cette offre sans que le propriétaire n’ait un retour d’ascenseur.
Il salut de la main le propriétaire qui souriait en grand. Le look du capitaine n’encadrait guère dans les lieux, mais la prestance, le charisme et surtout la réputation d’homme d’honneur fit oublier le code vestimentaire et les clients parurent heureux d’y voir celui qui assurait la protection de tous et chacun sans relâche. Ils prirent place et le capitaine opta pour un whiskey, trahissant sans peine son héritage texan et russe pour la boisson forte. Ils discutèrent tout bonnement et avec douceur et le taciturne homme à la musculation envieuse répondit avec une certaine légèreté.
Wesley- C’est intéressant. Pour ma part heureusement que je suis texan d’âme de ma mère, car sinon je serais très peu porter par les émotions dû à mo n héritage russe. Et les western spaghetti sont les meilleurs… Quoi que les derniers films de Clint Eastwood soient poignants. Gran Torino ou la mule.
Il regarda le menu et à son regard le regard ténébreux se leva du menu.
Wesley- Tout va. Je réponds en grognant à mes supérieurs pour qu’ils laissent mes officiers tranquilles. Je dois les protéger c’est mon boulot. Sinon j’aide sur les enquêtes, mais je m’ennuie du terrain pour t’avouer.
Il n’allait pas dire qu’une fois Enaya avait dit qu’elle adorait les barbes, donc il haussa les épaules et dit avec une certaine lenteur.
Wesley- Je voulais juste changer de style… Merci et toi tu es toujours aussi rayonnante. Mes parents m’ont supplié de t’inviter à les visiter. Ils sont du genre borner. J’ai cru comprendre aussi que tu avais accepter de rencontrer un homme proposé par ta famille? Le courant s’est bien passé?
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